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À droite de chaque mot pali, il y a sa prononciation. Ensuite, la signification du mot, puis en dessous, une courte explication.
Mauvaise action (en pensée, en parole ou en gestes). Acte déméritoire.
Toute mauvaise action aura obligatoirement une mauvaise conséquence pour celui qui la commet.
Fait de ne pas exister par soi-même.
Si une personne ou une chose existe, c'est à cause de plusieurs éléments.
Impermanence.
Tout ce qui apparaît finit par disparaître, car rien ne dure éternellement ; tout est éphémère.
Être qui a éliminé la totalité des impuretés du mental.
Une telle personne n'a plus aucun attachement. Donc, il ne connaît plus la souffrance.
Être qui renonce à tout pour se consacrer complètement à la voie de la sagesse.
On utilise ce mot pour désigner les moines disciples de la communauté de Bouddha.
Générosité.
Quand tu donnes de ton cœur (de ton intention) à quelqu'un, ou même à un animal, c'est dána. Faire un don, surtout s'il est nécessaire, permet de développer beaucoup de mérite.
Donateur.
Un dáyaka est une personne qui donne aux moines les choses dont ils ont besoin.
Être qui vit dans un monde très agréable que les humains ne peuvent pas voir.
Les deva peuvent voir les humains, ils vivent très longtemps et ont souvent des pouvoirs, comme de se rappeler de leurs vies passées, ou de voir à travers la terre.
La réalité telle qu'elle est.
Ce qu'on appelle dhamma, c'est aussi l'enseignement de Bouddha et toute la pratique qui permet d'arriver à l'Éveil.
Don de l'enseignement de la réalité (dhamma = enseignement de la réalité ; dána = don).
Donner un enseignement sur le dhamma est aussi une manière de pratiquer la générosité, car on donne des connaissances.
Insatisfaction, souffrance, douleur.
Dans la vie, tout est dukkha, car rien ne peut apporter une satisfaction pleine et durable.
Loi naturelle des causes et des conséquences. Lien entre un acte et sa conséquence.
De ce qui arrive, rien n'est laissé au hasard. Tout le monde est responsable des actes qu'il fait, donc tout le monde subit (en bien ou en mal) ce qu'il mérite.
Personne qui fait ce que les moines ne peuvent pas faire.
Un kappiya est une personne qui aide les moines, en faisant des choses que les règles monastiques n'autorisent pas, comme acheter, cueillir des fruits, etc.
Compassion.
Quand on a de la karuna, on respecte tout le monde et tous les animaux, même les insectes, et on aime aider ceux qui en ont besoin.
Saleté, défaut. Impureté du mental.
Voici quelques kilesá : avoir des doutes dans le dhamma, croire que les rituels apportent quelque chose d'efficace, chercher les plaisirs, avoir de la colère, être orgueilleux.
Bonne action (en pensée, en parole ou en gestes). Acte méritoire.
Toute bonne action aura obligatoirement une bonne conséquence pour celui qui la commet.
Amour (sans attachements, sans désir). Bienveillance.
Quand on a du mettá, on souhaite le bonheur pour tout le monde. C'est très important d'avoir de la bienveillance et d'en développer toujours plus.
Cessation de la conscience, et par conséquent, de toutes les impuretés mentales.
nibbána est le but du dhamma pour tout le monde. C'est le seul moyen de se libérer du samsará. Pour y parvenir, il faut développer vipassaná.
Lotus.
Les lotus sont de grandes fleurs très belles, qui poussent dans les étangs.
Pali.
C'est le dialecte que parlait Bouddha et les siens dans son pays. Le pali n'est pas une langue, car il ne possède pas d'écriture. Pour écrire en pali, on doit donc utiliser d'autres écritures : le birman, le khmer, l'alphabet latin (le nôtre), etc.
Accomplissement, maturité sur le plan de la sagesse.
Pour réussir dans sa pratique du dhamma, on a besoin de beaucoup de páramí, qu'on peut développer grâce à des actions positives faites avec la volonté de progresser sur le chemin de la sagesse.
Pour indiquer qu'on est satisfait ou heureux d'un acte ou d'un événement propice pour le dhamma.
En général, on pronconce ce mot trois fois de suite.
Tranquillité, sérénité.
La méditation samatha consiste à se concentrer sur une seule chose (par exemple la respiration) pendant assez longtemps, jusqu'à développer une profonde concentration. Samatha apporte le calme, le bien-être et la clarté.
Communauté des moines, fondée par Bouddha.
Le samgha sert à donner aux moines les meilleures conditions pour leur pratique, mais aussi à préserver les enseignements du dhamma et à les apporter aux autres.
Cycle sans fin des existences, des morts et des renaissances.
nibbána est le seul moyen de se libérer du samsará.
Vertu. Bonne conduite, Moralité.
La vertu est la base de toute la pratique du Dhamma. Pour avoir un bon síla, il suffit de respecter les 5 préceptes.
Parole qui explique le sens. Sermon. Parole de Bouddha (ou de ses principaux disciples).
Les sutta sont généralement des discours ou des petites histoires qui expliquent des points de l'enseignement et de la pratique du dhamma.
Enseignement de Bouddha dans sa version d'origine (thera = ancien ; váda = tradition, enseignement).
La parole de Bouddha a été préservée intacte jusqu'à nos jours, grâce à une suite ininterrompue de moines accomplis, qui sont toujours restés fidèles à la communauté originelle.
Observation multiple, d'instant par instant. Connaissance directe de la réalité.
Pour développer vipassaná, qu'on appelle aussi vision directe dans la réalité, on porte son attention sur ce qu'on perçoit, tel qu'on le perçoit.
Personne qui s'entraîne au développement de la concentration.
Un yogí est donc quelqu'un qui pratique la méditation ou le développement de la vision directe de la réalité.
Textes, graphisme et photos : Moine Dhamma Sāmi • Mise à jour de cette page : 27.02.2011
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